Autant la première journée était douce au soleil, autant celle-ci
fut froide. Juste revenu de Belgique, j'arrive un peu en retard au
début de la séance...A vrai dire, c'est pire qu'au cinéma! En arrivant,
je ne suivais rien et me croyais dans une autre dimension. J'étais
tombé en plein rythme sidéral, et les influences de mercure, pluton et
compagnie...désolé M. Masson, mais la je n'accroche pas.
J'ai réussi a reprendre le fil du discours quand on est tombé
sur la lune, et son influence. Je connaissais, par mes cours anciens et
ancestraux, son influence sur les marées, etc. Donc, j'étais plus en
phase.
L'après-midi, et la démarche appliquée chez Benoit Lahaye
étaient très sympathiques. Il arrive à concilier une approche BioD tout
en testant et raisonnant.
(Dynamiseur qui sert à préparer la 500 et la 501)
Bilan de la journée :
L'accent était mis sur les applications de souffre et cuivre,
l'exemple de Benoit Lahaye concret et pratique est très intéressant et
me semble moins figé que celui de Gauterot.
Je retiens la phrase de P. Masson qui dit (comme Maria Thun) que les préparations sont plus importantes que les rythmes...
Je reste perplexe quand à son explication "evaseuse" sur le
phylloxera. Pour moi, ce phénomène est complètement anti-biodynamie. La
plante doit trouver son équilibre et un lien avec son environnement. La
seule solution trouvée a été de greffer les plants de vignes, ou bien
d'avoir quelques îlots sauvegardés...Mais c'est vraiment
particulier...La première réponse de P. Masson, c'est de revenir sur
ces étoiles, et blablabla...Pas convaincu...Dommage
Encore merci pour Benoit Lahaye et son accueil.